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Des journalistes, reporters, écrivains voyageurs

Sylvain Prudhomme : « L’Affaire furtif »
A partir de différents registres d’écriture, aventures, polar, journal, haïku, Sylvain Prudhomme met en scène un bateau, qui prend le large, sans que personne ne sache qui est à bord, ni vers quelle destination il navigue. Dix ans plus tard, les aventuriers racontent leurs périples ; « Tanganyika Project » récit d’un projet de collecte d’inscriptions urbaines en Tanzanie

Clara Arnaud : « Sur les chemins de Chine » (Gaïa)
En février 2008, Clara arrive à Beijing, armée de son sac à dos et de ses rêves : parcourir le Grand Ouest de la Chine, arpenter à pied et avec deux chevaux de bât les immensités du pays ouïghour et des hauts plateaux tibétains, loin de l’agitation du monde. Clara n’élude pas la question politique. Pas de réponses préconçues, des interrogations avant tout. Les portraits qui émaillent le texte sont si chaleureux et colorés qu’on se surprend à souhaiter boire un thé au beurre rance en si bonne compagnie ! Chemin faisant, se construit une image de la Chine tout à la fois réaliste et contemplée. Un récit de voyage qui s’inscrit dans le sillon des écrivains voyageurs.

Nicolas Wild : « Kaboul disco » (La boîte bulles)
En voyage pendant 5 mois en Afghanistan, Nicolas Wild a eu pour mission de mettre en image la jeune constitution afghane à destination des écoles du pays. Au sein d’une petite entreprise de com’, il participe aussi à des affiches et prises d’images pour des spots commandés par l’armée afghane.

Bruno d’Halluin : « Jon l’islandais » (Gaïa)
La première phrase d’un livre souvent donne le ton de l’ensemble : « Le nuage fut transpercé de rayons lumineux, et la terre, désormais toute proche, se mit à luire. La brise, chaude, caressait la peau de son torse nu. » Nous sommes livrés à la sensualité de la nature, au parfum de l’aventure, à l’excitation de la découverte. Nouvelle vie, nouveau pays, nouvelles façons, c’est tout l’être qui boit avidement. Tel Jón, qui se dit Yônn en islandais, l’équivalent du Yann breton, du John anglais ou du Jean français.

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