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Guillemin Roswitha


Son univers c’est la rue ! Sa passion c’est la photo dans la rue.

Roswitha Guillemin vadrouille l’appareil photo en bandoulière dans les quartiers populaires. Elle explore les lieux désaffectés, les usines abandonnées. Elle entre dans les chantiers interdits au public et les terrains vagues. Elle aime aussi les quais de gare, les voies ferrées.

En 1985 elle découvre l’art dans la rue. Elle photographie sans cesse ces traces artistiques sur les murs de la ville : fresques, pochoirs, graffitis, tags, etc ... Elle aime les affiches déchirées, les slogans détournés, les messages écrits sur les murs par les passants. Elle aime le street art et le graff. Elle aime les artistes urbains. Elle les suit de Paris à Berlin en passant par Londres et Lisbonne et même ailleurs. Elle leur consacre des carnets : « Paul Bloas, Carnet de rue », « Carnet du Bateleur », « Miss.Tic, des mots et merveilles », « Aux Arts Citoyens », « Paris-Pochoirs »…

Roswitha Guillemin a besoin de garder des traces. Elle remplit ses carnets de notes, de croquis, d’articles de presse, de stickers, de photos. Elle peint et collage dans ses carnets, elle écrit. Ses carnets urbains, indispensables compagnons de vie, sont les témoins de ses rencontres artistiques, de ses coups de cœurs, de ses coups de gueule, de ses voyages et de ses rêves.

Elle a besoin de partager. Le mail art devient son moyen de s’exprimer et de correspondre avec les autres. Elle aime écrire, ses enveloppes se sont très vites enrichies de peinture, de collages, de dessins. Elle entretient depuis plus de ving ans des correspondances artistiques et anime au sein de l’Association Complètement timbrées ! des ateliers et stages d’art postal, carnet et livret d’artistes sur Paris et en province et participe régulièrement à des projets collectifs. Elle anime également des stages à Cahors, Berlin et Londres.

Elle anime le blog « Street Art Journal » et rédige des articles dans la revue
trimestrielle Street Art Magazine. Elle est co-auteur d’un livre « Gainsbourg
Graffiti » paru en 2017.

Liens

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Festival 2017

Roswitha Guillemin présente cette année un projet intitulé GAINSBOURG GRAFFITI qui raconte l’histoire du mur du 5bis, rue de Verneuil dans le 7e arrondissement qui abritait l’hôtel particulier de Serge Gainsbourg, figure incontournable de la scène musicale française.

Ce mur mythique, souvent appelé « le Mur Gainsbourg », a été investi depuis la fin des années 80 (c’est-à-dire du vivant de Gainsbourg) par ses fans et quelques artistes connus du street art comme Blek-le-Rat et Yarps. Roswitha Guillemin apporte ici son témoignage sur « ce livre ouvert » en mémoire de l’artiste.

A travers ses photos, ses carnets et ses collectors, elle raconte l’histoire de ce lieu vivant grâce aux fans de passage qui déposent un message ou laissent un dessin. Grâce aussi aux peintres, aux graffeurs et aux street artistes qui viennent régulièrement rendre hommage à l’artiste. Elle raconte, avec ses carnets, ses photos et ses collectors, les sessions qu’elle organise depuis 2011 en général entre le 2 mars, date d’anniversaire de sa mort et le 2 avril date de sa naissance.

Collages, pochoirs, graffiti, desseins, mots d’amour, messages fleurissent sur la façade en mémoire de l’artiste qui était à la fois chanteur, compositeur, musicien, acteur et metteur en scène.

Elle présentera également quelques extraits de son projet Mail Art sur Gainsbourg.


Festival 2015

Roswitha Guillemin garde trace de ses échappées belles, de ses escales.

Ses carnets sont témoins de ses découvertes artistiques sur les murs des villes qu’elle traverse, de ses rencontres, de ses coups de cœur, parfois de ses coups de gueule. Elle les remplit de notes, de croquis, d’articles de presse, de dessins, de photos et de collages.

Elle présente pour la première fois, ses Carnets de Brest où elle raconte avec ses collages, ses photos et ses mots 10 ans d’amour avec Brest même ! Elle partage ses aventures artistiques depuis sa première participation en 2006 au Festival des Carnets ici & ailleurs.

Ici, un Paris-Brest dans la journée pour voir les derniers lambeaux d’un collage de l’artiste Ernest Pignon-Ernest dans le port de Brest. Là, un vernissage dans la nouvelle galerie Art Up avec une exposition de Paul Bloas, artiste brestois qui la fascine depuis son intervention à Paris en 1995. Quartier Général au Fourneau pendant les Tonnerres de Brest 2012 où les pirates et flibustiers de tout bord viennent prendre la pose le temps d’un partage, le temps d’un croquis.

Roswitha garde trace dans ses carnets urbains des parcours street Art et graffiti dans le port de Commerce, à Recouvrance, Saint-Martin et Saint-Marc. Elle suit de près l’évolution du projet Crimes of Minds lancé par une artiste brestoise, Liliwenn qui a fait intervenir pendant deux ans des artistes internationaux sur les murs de la ville. Elle participe au festival "Urbain et Insolite" à la Médiathèque de Pontanézen où mail Art et graffiti s’en donnent à cœur joie avec les artistes et les jeunes du quartier.

- >http://www.completement-timbrees.com/]


Festival 2008

Paris au quotidien

Son univers c’est la rue. Elle aime les quartiers populaires, les vieux murs, les fissures, les plaques émaillées et les gouttières, la rouille, les réverbères et puis, elle se prend de passion pour l’art dans la rue. Elle photographie les pochoirs, les graffitis, les affiches déchirées, les slogans détournés… Elle aime les artistes urbains. Elle les suit à la trace à Paris et ailleurs : Paul Bloas à Brest et Valenciennes, Ernest Pignon-Ernest à Brest, Nemo et Jef Aérosol à Lisbonne. Elle leur consacre des carnets. « Paul Bloas, Carnet de rue », « Carnet du Bateleur », « Miss.Tic, des mots et merveilles »…

Elle a besoin de garder des traces. Elle remplit ses carnets, indispensables compagnons de vie, témoins de ses rencontres artistiques, de ses coups de cœurs, de ses coups de gueule, de ses voyages et de ses rêves. Elle les remplit de notes, de croquis, d’articles de presse, de photos et de collages.


Festival 2006

Elle a besoin de partager. Le mail art devient son moyen de correspondre avec les autres. Elle aime écrire, ses lettres se sont très vite enrichies de peinture, de collages, de dessins, de coups de tampons. En mai 2005, « Correspondance » voit le jour. Un projet artistique né de sa complicité avec Christine LE ROY, artiste peintre. L’une lance un thème, l’autre fait écho... A partir d’un titre de livre, de poème, de chanson, de film... Depuis 3 ans, elle anime tous les week-ends des ateliers d’art postal sur Paris avec l’Association Complètement timbrées ! Elle participe régulièrement à des projets collectifs autour du collage et de l’art postal :

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